ÉCOSCULPTURES DANS LES JARDINS BOTANIQUES D’ATLANTA

Lorsque les célèbres jardins botaniques d’Atlanta organisent une exposition spéciale, ils attirent toujours des foules plus importantes, mais l’exposition sur les mondes imaginaires a été spectaculaire et des foules records de personnes ont même été rejointes cette fois-ci par un public numérique!

La pièce maîtresse des mondes imaginaires est constituée par les immenses écosculptures, dont certaines atteignent 25 pieds de haut. L’une d’entre elles porte à elle seule un nombre incroyable de 18 000 plantes annuelles, toutes soutenues par un exosquelette galvanisé à chaud. Les différentes heures de la journée et les saisons qui passent font qu’elles n’ont jamais deux fois le même aspect. C’est encore plus vrai pendant les Garden Lights, Holiday Nights, lorsque ces écosculptures se transforment, illuminées par des milliers et des milliers de petites lumières colorées.

Une sculpture porte à elle seule un nombre incroyable de 18 000 plantes annuelles, toutes soutenues par un exosquelette galvanisé à chaud. Les différentes heures de la journée et les saisons qui passent font qu’elles n’ont jamais deux fois le même aspect.

Le film Netflix à succès de 2018, « Saisir la vie par les cheveux », a vu son audience numérique atteindre des millions de personnes lorsque l’actrice vedette a visité l’exposition devant la caméra dans le cadre d’un élément clé de l’intrigue!

À l’instar d’une exposition universelle, l’exposition originale des mondes imaginaires de 2013 a été conçue pour être temporaire, mais certaines sculptures, comme Earth Goddess (déesse de la Terre), ont été tellement populaires et frappantes qu’elles sont devenues permanentes. Malheureusement, quelques années plus tard, les exosquelettes en acier peint n’ont pas fait le poids face au système d’arrosage automatique qui maintenait en bonne santé les dizaines de milliers de plantes annuelles fleuries et les nombreuses tonnes de terre en suspension perpétuellement humides, un environnement idéal pour la rouille!

Pour la version 2018 de l’exposition, les artisans d’Acme Décor à Beloeil, au Canada se sont donc remis au travail pour fabriquer des exosquelettes supplémentaires pour plusieurs nouvelles écosculptures. Cette fois-ci, avec une différence essentielle, ces exosquelettes devaient être protégés par galvanisation à chaud. Conçues pour être légères pour des raisons de coût et d’accessibilité, les barres de faible diamètre de ces exosquelettes sont, en raison de leur conception, susceptibles d’être endommagées par la corrosion.

Les formes tridimensionnelles complexes rendent presque impossible l’application d’une peinture complète. En outre, les travaux constants de plantation, de taille et de désherbage, sans parler du transport et de l’assemblage, provoquent constamment des défaillances et des dégradations de la peinture. En comparaison, la robustesse de la galvanisation à chaud et son principe d’immersion totale permettent de relever ces défis sans effort.

Le faible coût et la rapidité d’exécution, ainsi que la grande dimension des bains de zinc locaux, ont fait de l’immersion à chaud le choix le plus facile et le plus judicieux. Grâce à l’incroyable pouvoir de résistance à la corrosion du zinc naturel pur, ces nouvelles écosculptures devraient vivre pendant des dizaines et des dizaines d’années!

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