CLÔTURE PÉRIPHÉRIQUE DU JARDIN BOTANIQUE DE MONTRÉAL

Plus connu sous le nom de Jardin botanique de Montréal, le complexe Espace pour la vie est le plus important complexe de sciences naturelles au Canada.  Il comprend un biodôme, un insectarium, un planétarium et, bien sûr, les jardins botaniques eux-mêmes.  Tout en étant une vitrine de notre monde naturel, il se trouve également au centre d'une ville animée de 3,5 millions d'habitants, de sorte que la clôture originale des années 1930 qui borde directement deux des routes les plus fréquentées de la ville s'est depuis longtemps détériorée, au point de ne plus pouvoir être réparée, malgré d'innombrables réparations et d'innombrables couches supplémentaires de peinture.

Dans les années 1960, le galvaniseur [Corbec] a réalisé un projet de lampadaires à revêtement duplex dans un quartier de Montréal, le tout premier au Canada.  Toujours en service plus de 50 ans plus tard et exempts de corrosion, ces lampadaires parlent de manière plus convaincante que n'importe quelle présentation marketing ne pourrait l'espérer.

Outre les problèmes habituels de corrosion en milieu urbain, le climat très septentrional de Montréal entraîne une utilisation intensive de produits chimiques de déglaçage qui enterrent souvent la clôture dans des bancs de neige chargés de sel et l'exposent aux embruns salés des autobus qui passent et de la circulation dense pendant plusieurs mois par an.

La longue et très fructueuse histoire de la galvanisation à chaud pour la ville de Montréal a été un facteur évident dans la décision d'utiliser l'acier galvanisé, mais le désir architectural d'imiter la clôture d'origine exigeait un système duplex de peinture noire sur l'acier galvanisé.  Une fois de plus, l'histoire locale nous a guidés : dans les années 1960, le galvaniseur a réalisé un projet de lampadaires à revêtement duplex dans un arrondissement de Montréal, le tout premier au Canada.  Toujours en service plus de 50 ans plus tard et exempts de corrosion, ces poteaux d'éclairage sont plus convaincants que n'importe quelle présentation marketing ne pourrait jamais l'espérer.

Ainsi, cette deuxième clôture pour le Jardin Botanique devrait fournir un service presque sans entretien pendant de nombreuses décennies, et les fonds précédemment perdus dans les interminables travaux de peinture et de réparation de la rouille seront désormais mieux utilisés dans les jardins eux-mêmes, pour le plaisir et l'éducation des millions de visiteurs qui viendront à l'avenir.

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