Nos projets

PONT VAL-DES-BOIS

Projets
PONT VAL-DES-BOIS

Aperçu

Raisons de la galvanisation: durabilité du revêtement, résistance à la corrosion, coût initial, coût du cycle de vie.

Composants galvanisés: l’ensemble du pont, y compris la structure, le tablier, les bordures, les fixations et les garde-corps, a été galvanisé à chaud.

« Selon Sylvain Cordeau, ingénieur responsable du ministère des Transports, le pont de Val-des-Bois a dépassé toutes les attentes du ministère ».

Secteur
Ponts et autoroutes, Accomplissement de toute une vie
Année
1964
Tonnage
180
Localisation
Bowman, QC, Canada

Structurel

Composantes

Description

Le pont de Val-des-Bois fait partie d’une série de ponts entièrement galvanisés à chaud construits entre le début et le milieu des années 1960, les premiers du genre au monde. Ce pont de 255 pieds, de style traditionnel, comporte deux voies de circulation et a été mis en service en 1964. Traversant la rivière du Lièvre à environ une heure au nord de la capitale canadienne d’Ottawa, ce pont a dû faire face à des conditions environnementales brutales depuis sa construction.

L’ensemble de la structure a été galvanisé à chaud : poutres en H et plaques pour la structure principale, plaques de coffrage à froid pour les bordures et le trottoir, caillebotis en acier riveté et deux couches de glissières de sécurité pour former les garde-corps. Les hivers de l’est du Canada sont extrêmement difficiles pour les infrastructures et cette région connaît au moins six mois par an de conditions hivernales avec une application régulière de sels de déglaçage et d’abrasifs. Les cycles de froid rigoureux de l’hiver et le temps chaud et humide de l’été créent des contractions et des dilatations du métal qui dégradent rapidement les systèmes de peinture, les fissurent et permettent à l’humidité corrosive chargée de sel de commencer son sale travail.

Selon Sylvain Cordeau, ingénieur responsable du ministère des Transports, le pont de Val-des-Bois a dépassé toutes les attentes du ministère.

Lorsque l’utilisation des sels de déglaçage s’est généralisée après la Seconde Guerre mondiale, le ministère des Transports a constaté l’effet catastrophique sur les ponts à treillis en acier peints. Ces ponts peints présentaient des défaillances critiques dues à la corrosion, parfois en moins de 20 ans de service, malgré des programmes de décapage et de retouche de peinture coûteux et quasi constants. Ces défaillances ont conduit à la décision, en 1960, d’installer une série de ponts galvanisés à chaud. Étonnamment, chacun de ces ponts est toujours en service 50 à 60 ans plus tard, et le premier entretien n’a été nécessaire qu’après près de 50 ans de service.

Selon Sylvain Cordeau, ingénieur responsable du ministère des Transports, le pont de Val-des-Bois a dépassé toutes les attentes du ministère. Une inspection approfondie effectuée en 2018 n’a révélé aucune corrosion de l’acier sur la structure en treillis; étonnamment, l’épaisseur de zinc varie encore de 100 % à plus de 300 % de l’épaisseur minimale requise pour une nouvelle construction! Même le caillebotis du pont commence à peine à présenter une corrosion du métal de base, principalement liée à plus d’un demi-siècle de chasse-neige et de pneus à crampons qui ont progressivement rongé le caillebotis en acier lui-même.

Le seul problème de corrosion qui a nécessité un entretien est celui des poutres de soutien du caillebotis du pont. Une mauvaise conception consistant à poser le caillebotis directement sur le rebord supérieur de ces supports a piégé des liquides corrosifs et du sel et du sable retenant l’humidité. Mais même ces éléments sont encore en service 56 ans plus tard.

Selon Sylvain Cordeau, ingénieur responsable du ministère des Transports, le pont de Val-des-Bois a dépassé toutes les attentes du ministère. Une inspection approfondie réalisée en 2018 n’a révélé aucune corrosion de l’acier sur la structure en treillis, alors qu’elle présente encore une épaisseur de zinc allant de 100 % à plus de 300 % de l’épaisseur minimale requise pour une nouvelle construction! Même le caillebotis du pont commence à peine à présenter une corrosion du métal de base, principalement liée à plus d’un demi-siècle de chasse-neige et de pneus à crampons qui ont progressivement rongé le caillebotis en acier lui-même. Le seul problème de corrosion qui a finalement nécessité un entretien est celui des poutres de soutien du caillebotis. Une mauvaise conception consistant à poser le caillebotis directement sur le rebord supérieur de ces supports a piégé des liquides corrosifs et du sel et du sable retenant l’humidité. Mais même ces éléments sont encore en service 56 ans plus tard.

Épaisseru du revêtement

PARLONS GALVANISATION, NOUS SOMMES LÀ POUR VOUS AIDER!

Notre objectif est de partager nos connaissances. Nous sommes convaincus que des décisions informées conduisent à de meilleurs résultats. Contactez-nous et profitez de notre expérience et de notre expertise.